De la mer à la ville

Pour cette dernière journée au nord de Bali, nous testons les plongées locales à Pemuteran. Le temps de transport est beaucoup moins long puisque la plage est de l'autre côté de la route ! Ça nous laissera tout le temps ensuite pour partir sur Denpasar prendre notre avion demain.

En plus, nous sommes les seuls plongeurs sur le bateau !! On ne se bousculera pas sous l'eau.

La carte des sites de Kokak - Nous commencerons par "Napoleon Reef" puis ce sera "Close Encounters"

Eddy, notre dive master, nous guide vers la plage

Aujourd'hui, il fait très beau ! Nous allons enfin pouvoir cesser de nous cailler les miches entre les plongées.

Même dans les terres le ciel est dégagé.

Pas un chat sur la plage. On s'y équipe tranquillement avant d'embarquer.

Notre bateau à nous pour nous tous seuls !

Mon Précieux !

Allez, fin de la rigolade. Maintenant, faut partir. Il n'y a que 140 km mais la circulation est tellement dense que ça prendra tout le reste de la journée. C'est tellement encombré qu'on abandonne l'idée de dormir à Denpasar. Il vaut mieux contourner par l'est pour aller à Kuta, plus près de l'aéroport. En fait, c'est à peine moins congestionné. 

Les corvées habituelles nous attendent à l'arrivée : trouver un hôtel sans se faire trimbaler à droite à gauche avec nos gros sacs, changer des euros sans se faire arnaquer par des prestidigitateurs aux mains habiles. Ensuite, nous déambulons dans Kuta à la recherche d'un resto agréable. Peine perdue, nourriture industrielle et prix européens, même à l'écart du centre où les boîtes de nuit rivalisent de décibels. Il y a de la viande saoule un peu partout, et il n'est pas 22h. Drôle d'ambiance, surtout lorsqu'on passe près du monument aux victimes des attentats de 2002. Les 3 K des hippies sont vraiment perdus dans les limbes des années 70. Dans un bar où la sono est un peu moins forte (on a plus des oreilles de 20 ans...), on boit un cocktail pour se détendre un peu, mais le dosage est homéopathique ! Allons donc nous coucher...

Même pas bon !